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L’AI Act, entré en vigueur le 1er août 2024, est le premier cadre juridique européen encadrant le développement et l’utilisation de l’intelligence artificielle. Il vise à garantir des systèmes d’IA fiables, sûrs et éthiques, tout en protégeant les droits fondamentaux.
Le texte repose sur une classification par niveaux de risque (inacceptable, élevé, modéré, faible) qui détermine les obligations des acteurs de l’IA (fournisseurs, utilisateurs, importateurs, distributeurs).
Son application s’étalera jusqu’en 2027, avec des sanctions pouvant atteindre 35 millions d’euros en cas de non-conformité.

Adapter son workflow Data Science à l’AI Act – L’AI Act impose de nouvelles règles pour les systèmes d’IA, surtout ceux à haut risque. Pour être conforme, il faut :
• Évaluer le risque et définir son rôle (provider, deployer…).
• Assurer la qualité, la traçabilité et la non-discrimination des données.
• Intégrer un Risk Management System (RMS) et garantir transparence et supervision humaine.
• Préparer la documentation, l’enregistrement européen et le marquage CE avant la mise en production.
• Maintenir un monitoring continu (drift, logs, incidents) et un Quality Management System (QMS) pour la conformité à long terme.
L’AI Act est une contrainte mais aussi un levier de confiance et de compétitivité.

« Lately my Databricks clusters have been taking ages to start. So I asked myself: “What actually happens when you hit Start?” After digging into it, I did some research and put together a short article that breaks down the whole process from A to Z.
I aimed to make it technical enough for us Data Engineers, but also a bit fun to read—because let’s be honest, we already have plenty of dry technical docs out there » — Hany A.